Soignez la présentation de votre dossier d’appel d’offres public

Vous souhaitez que votre PME se développe et connaisse une croissance fulgurante. Vous êtes convaincu que les marchés publics sont un moyen d’atteindre cet objectif. Donc, si vous recherchez un appel d’offre public en cours, alors il faut consulter le portail France Marchés lequel propose plus de 20  000 appels d’offres publics issus de toute la Presse Quotidienne, de plus de 1 000 sites d’acheteurs publics, du BOAMP et du JOUE.

Une fois que vous avez sélectionné une offre, vous devez soumissionner. Dans votre dossier, utilisez une mise en page claire avec des titres et sous-titres. N’oubliez pas la table des matières. Paginez tous les documents. Faites des phrases simples qui vont à l’essentiel et, surtout, n’utilisez pas de jargon ou très peu.

Présentez des infographies ou des tableaux pour illustrer vos propos. Relisez attentivement votre dossier pour corriger les fautes d’orthographe ou de grammaire.

Faites appel à un rédacteur/correcteur ou un avocat spécialiste des marchés publics pour la relecture ou la mise en forme.

Respectez les règles de complétion du dossier

Assurez-vous que votre dossier est complet en plus de respecter les conditions de forme de l’appel d’offres. Fournissez tous les documents demandés dans les formats exigés. Remplissez correctement les formulaires. Une omission ou une erreur de forme peut entraîner le rejet de votre candidature, quel que soit le contenu de votre offre. Utilisez une checklist pour vérifier que vous n’avez rien oublié. Le respect des procédures est une des qualités appréciées dans les marchés publics.

Pratiquez un rapport qualité-prix compétitif

Faites une offre financière attractive si cela ne compromet pas la qualité de vos prestations. Justifiez votre grille tarifaire en détaillant les coûts et en expliquant ses avantages pour le donneur d’ordre. Mettez en exergue les économies possibles, les gains d’efficience / d’efficacité ou les améliorations de performance que votre offre apportera. Mentionnez les services additionnels (maintenance, formation, etc.).

Participez aux réunions d’information

Vous y recueillerez des informations importantes qui ne sont pas présentes dans les documents officiels. Durant ces séances, posez des questions pour obtenir des détails ou des précisions. C’est également l’occasion d’éclaircir les points qui vous semblent ambigus. De plus, ces discussions vous aident à mieux comprendre les attentes des auteurs des appels d’offres. Vous peaufinerez votre offre en conséquence. Votre présence laisse une impression positive chez les décideurs. Si des visites sont prévues, n’hésitez pas à vous y rendre.

Abordez la question des garanties et du service après-vente

Détaillez la durée, l’étendue et les conditions d’application de la garantie. Indiquez les délais d’intervention en cas de problème, ce qui est l’occasion de prouver votre réactivité et votre disponibilité. Donnez des précisions sur les ressources humaines et techniques que vous mobilisez dans le « service/support client ».

N’oubliez pas de citer les outils de suivi destiné à l’établissement public. Il peut s’agir d’une plateforme en ligne pour suivre l’avancement du projet, consulter des rapports, ou signaler des problèmes.

Décrivez également le dispositif que vous mettez en place pour gérer les réclamations. Cet accompagnement après la prestation démontre le professionnalisme et la fiabilité de votre PME. Il vous aide, en outre, à faire ressortir une de vos ambitions. Vous souhaitez établir une relation de confiance avec les établissements publics et les collectivités territoriales à l’origine des appels d’offres.

Tenez compte des critères d’évaluation (grille d’évaluation)

Dans les appels d’offres publics, les critères d’évaluation doivent normalement être mentionnés dans les documents officiels, conformément à la réglementation sur les marchés publics. Ces critères permettent aux candidats de comprendre sur quels aspects leur offre sera évaluée.

L’État et les établissements publics peuvent se pencher sur la qualité technique, le prix, les délais, la performance environnementale, etc. Concevez votre dossier de manière à démontrer nettement que votre PME satisfait chaque critère. Par exemple, si un critère porte sur la capacité technique, exposez vos méthodes de travail, énumérez vos outils et votre matériel ainsi que vos expertises.

Cependant, il arrive que ces critères ne soient pas présentés exhaustivement dans l’appel d’offres. Dans ce cas, analysez le cahier des charges. Certes, les critères n’y sont pas explicitement listés. Mais il contient souvent des indices sur ce qu’attendent les établissements publics des candidats.

Qu’est-ce qu’un avocat fiscaliste ?

Comment comprendre pleinement les nouvelles réglementations fiscales, les opportunités de la fiscalité internationale, la jurisprudence et le reste ? Un avocat fiscaliste, lui, les maîtrise sans problème et il est d’ailleurs obligé de se mettre à jour en permanence pour répondre aux besoins des entreprises. C’est donc un expert qui vous aide à régler vos problèmes de droit fiscal ou financier. En cas de contentieux avec le service des impôts, c’est le conseiller juridique qu’il vous faut, un incontournable. Un avocat fiscaliste est également indispensable dans le cadre d’un redressement fiscal, car rappelez-vous que votre entreprise sera confrontée à des professionnels chevronnés en droit fiscal.

Un avocat fiscaliste, une aide de premier choix

Ce qu’il faut garder à l’esprit, c’est qu’un avocat fiscaliste possède une connaissance pointue dans les questions fiscales et des lois. Tout ce qui concerne l’impôt de l’État, la propriété, le revenu et le droit n’a aucun secret pour lui et il va mettre tout ce savoir au service de votre entreprise. Même en cas de problèmes financiers, un avocat fiscaliste pourra également vous épauler pour les résoudre. Il assiste votre entreprise et les collaborateurs impliqués pour les taxes, l’optimisation fiscale des opérations en rapport avec les fusions-acquisitions, les audits fiscaux et juridiques et le contrôle fiscal en cas d’IS. En résumé, un avocat fiscaliste vous guide pour la fiscalité de votre entreprise.

Pourquoi faire une simulation du revenu est-elle important ?

Une simulation en portage salarial vous permet d’avoir une idée précise de votre future rémunération en tant que salarié porté. Cela vous permet de :

• Évaluer votre rentabilité : vous pouvez déterminer combien vous gagnez réellement après déduction de vos charges et de vos frais de gestion.
• Anticiper les charges fiscales et sociales auxquelles vous êtes soumis. Vous pouvez ensuite planifier votre budget personnel.
• Comparer votre statut à d’autres statuts d’entrepreneur ou salarié classique.
• Ajuster vos tarifs, ce qui vous aide à atteindre vos objectifs financiers.

Faire le calcul avec un outil de simulation de portage salarial ?

Avant de décider de devenir un consultant porté, effectuez une simulation de votre revenu. Vous pouvez, dans ce cas, utiliser un simulateur comme celui sur https://www.regie-portage.fr/ pour déterminer avec exactitude ce que vous pouvez gagner. Notez que la plupart des sociétés de portage salarial mettent à disposition un outil de simulation. De manière générale, l’outil vous donne une estimation précise de votre revenu net, tout en considérant vos spécificités professionnelles. Grâce à lui, vous pouvez peser le pour et le contre pour décider si oui ou non le portage salarial vous convient.

Bien évidemment, la simulation de portage salarial vous permet de planifier vos dépenses et investissements. Elle vous aide également à trouver la société de portage salarial la plus avantageuse.

Quels sont les éléments à considérer dans le calcul ?

Pour que la simulation de votre revenu en portage salarial soit la plus précise possible, vous devez déduire de votre chiffre d’affaires prévisionnel les éléments suivants :

• Les frais de gestion.
• Vos charges fiscales.
• Vos indemnités et avantages.
• Les cotisations sociales

Il se peut aussi que la fluctuation de vos missions influence votre rémunération totale. Bref, ne négligez pas ces points pour avoir une vision plus réaliste de votre salaire.

Qu’est-ce que le Leadership  ?

Le Leadership se définit comme la façon dont une personne occupant un poste hiérarchique déploie son autorité sur les membres de son organisation. Par conséquent, le Leader prend la plupart des initiatives et guide le reste de l’équipe. Sa mission est de mobiliser les différentes ressources humaines dans l’atteinte d’un objectif de performance précis.

Le Leadership autoritaire

Le principe du Leadership autoritaire repose sur un patron donnant des ordres à ses subordonnées sanctionnant les comportements déviants. Aussi appelés Leadership directifs, ici, les ordres du chef d’équipe sont indiscutables. Son autorité ne doit jamais être remise en question et s’apparente à celui d’un père de famille.

Le Leadership démocratique

Ici, le chef d’entreprise ne décide pas tout seul. Contrairement au Leadership autoritaire, le Leadership démocratique encourage l’esprit d’initiative, la force de proposition et la créativité des employés. Dans ce texte, le leader est auteur du développement de l’entreprise, au même titre que ses salariés. Ainsi, le management et l’apprentissage se basent sur les échanges entre toute l’équipe. Le Leader, quant à lui, occupe une place d’animateur dans la concrétisation et l’élaboration des idées.

Le Leadership permissif

Aussi appelé Leadership « laisser-faire », ce type de Leadership va plus loin que le Leadership démocratique et s’oppose totalement au Leadership autoritaire. Dans ce contexte, le dirigeant permet à ses employés de faire ce qu’ils veulent. Cela signifie que le chef reste en retrait total face aux prises de décisions de son équipe et les laisse décider par eux même. Ainsi, l’unique rôle du Leader permissif réside dans la surveillance des activités de ses salariés sans jamais intervenir.

Il n’existe pas de bon ou de mauvais Leadership. Un bon Leader doit juste savoir s’adapter aux facteurs internes et externes qui influent sur l’épanouissement de son entreprise pour choisir convenablement sa méthode de direction.

Reconsidération de l’organisation

Vous devez commencer par faire l’état des lieux de l’ensemble de toutes vos activités. Il est en effet indispensable de les revoir par ordre de priorité, pour que vous puissiez redéfinir votre business plan. Passez à la planification des objectifs à atteindre. Si vous rencontrez des difficultés au niveau de l’organisation en général, vous pouvez vous faire aider par vos amis entrepreneurs et par des spécialistes en gestion d’entreprise. Essayez aussi de mettre en œuvre les stratégies d’amélioration telle que l’amélioration de la relation avec la clientèle.

Prospection de nouveaux marchés

Le développement des partenariats et le développement international sont incontournables pour développer le chiffre d’affaires. Vous avez alors intérêt à réussir votre campagne publicitaire. Ainsi, utilisez à votre profit les réseaux sociaux et le web pour faire connaître votre entreprise à un large public. Prospectez aussi de nouveaux marchés pour augmenter la rentabilité. Privilégier les échanges et les relations interentreprises. Si vous avez de la potentialité, participez également au marché international. Par ailleurs, il est avantageux de coopérer avec des entrepreneurs étrangers et des firmes multinationales.

Réduction des coûts des produits et services

La définition des prix est importante dans la mesure où vos clients font, avant d’acheter, une comparaison des prix. Si vos produits ou vos services sont trop coûteux, les clients vont partir à la quête de nouveaux produits ou services pas chers. Le bon rapport entre la qualité et le prix est en fait une clef pour fidéliser la clientèle. Le prix exorbitant fait fuir les clients. « On attire moins de mouches avec du vinaigre qu’avec du miel », comme on dit. La satisfaction de la clientèle constitue donc un impératif pour entretenir la relation client.

Le business plan, l’alternative pour le manque de financement

Que pensez-vous d’élaborer un business plan pour régler vos problèmes de trésorerie ? Cette solution s’avère efficace dans la mesure où vous envisagez de créer votre entreprise. Pour vous faciliter la tâche, inscrivez au budget le chiffre d’affaires prévisionnel. Par contre, les saisonnalités ainsi que les délais de paiement prévus font partie de cela. Une chose est sûre, ces informations vous serviront davantage pour établir l’application du business plan, pour publier le plan de financement et le tableau de trésorerie.

En suivant cette méthode, vous saurez à l’avance vos besoins en financement lors de la création de votre entreprise. Ceci dit, il est plus judicieux de tenir compte de sa configuration actuelle et de mettre à fin la trésorerie négative. Par contre, cela tombe bien si vous cédez votre créance contre une somme d’argent. Effectivement, il s’agit des solutions de financement.

Techniques adéquates pour le financement de la création d’entreprise

Bien que vos besoins en financement dépendent du montant de financement affiché sur le business plan, essayez aussi de vous focaliser sur les caractéristiques du financement. Pour commencer, l’idéal pour vous est de définir les modes de financement pour la création d’entreprise. Pour vous aider, ça parle financement ici. Sans oublier également d’identifier l’apport en fonds propres et les financements externes.

Même si vous êtes très enthousiaste à l’idée d’obtenir des sommes importantes pour la création de votre entreprise, vous êtes tenu de tenir compte de certains points. À défaut de fonds propres, votre demande de financement externe risque d’être rejetée. Pour mieux tirer profit de cette forme d’aide, n’oubliez surtout pas de mentionner la durée du financement nécessaire. Avez-vous besoin de financement à court terme, à moyen terme ou à long terme ? Pour terminer, il est préférable de bien détailler les modalités d’apports en fonds propres.

Financements internes et externes pour la création d’entreprise

Besoin de ressources suffisantes pour lancer le projet de création d’entreprise ? Sachez qu’il existe les apports en capital social. Ces derniers comprennent principalement les apports en numéraire et les apports en nature. En tant qu’actionnaire de la société, aucun remboursement ne vous est accordé. Par contre, vous bénéficierez des titres de l’entreprise en raison de vos pouvoirs et de vos droits.

Une fois que les associés prennent possession des dividendes, attendez-vous à des répercussions sur la trésorerie de votre société. Nul ne peut nier que le fait qu’anticiper les choses s’avère être difficile parfois. Quant aux financements externes, les emprunts à court terme vous sont utiles pour combler votre manque de financement. À noter que ces financements vous aident à régler les stocks de l’entreprise. Pour ce faire, l’aval de votre établissement bancaire est nécessaire pour recevoir les emprunts bancaires à court terme.

Les méthodes utilisées pour réduire de taux d’impôt

Pour l’année 2021, les impôts ont été réduits de 10 milliards d’euros. La CVAE ou Cotisation sur Valeur Ajoutée des Entreprises sera réduit à moitié pour les entreprises débiteurs. Grâce à la revue des méthodes comptables servant à calculer les impôts territoriaux, la CFE ou Cotisation Foncière des Entreprises sont baissées à moitié. C’est également le cas pour la TFPB ou Taxe Foncière sur les Propriétés Bâties. Le plafond de la CET ou Contribution Économique Territoriale connaît une baisse de 2 % pour assurer la réduction des impôts fonciers et du CVAE pour toutes les entreprises. La dérogation de CFE est prolongée de 3 ans pour les entreprises qui veulent élargir leur territoire. Bien sûr, cela est possible uniquement après une concertation des collectivités locales.

Le système de paiement

Puisque les décisions prises par le gouvernement concernant la lutte contre le COVID-19 s’appliquent encore, les paiements d’impôts de société changent avec cela. Chaque entreprise devra calculer l’IS en fonction du pourcentage de ses bénéfices. Elle l’envoie ensuite à l’administration fiscale. Ce paiement se fait en quatre tranches, plus précisément tous les 15 de chaque mois de mars à décembre. Cela veut dire que si le revenu de l’entreprise est inférieur à 250 millions d’euros, l’IS est de 26,5 %. Par contre, s’il est égal ou supérieur à 250 millions d’euros, le taux d’impôts de société est de 27,5 %.

Les caractéristiques d’un journal d’annonces légales

Le journal d’annonces légales, également connu sous l’appellation de JAL, doit avoir une autorisation renouvelable chaque année émanant de la préfecture de son département. Ce type de journal fait l’objet d’une classification géographique par ordre alphabétique pour faciliter vos recherches et vos démarches. Sachez que le JAL auquel vous êtes soumis doit se trouver dans le département où se situe le siège social de votre entreprise. En effet, toutes les annonces concernant une même entreprise font l’objet d’une publication dans un même journal. Si votre entreprise est à Marseille, il faut publier votre annonce légale dans un JAL du département des Bouches-du-Rhône. Si votre entreprise est dans la capitale, il faudra publier dans un journal parisien.

Les formalités de publication

Certaines formalités d’entreprises doivent faire l’objet d’annonces officielles dans un JAL. En général, l’intégralité des formalités qui ont trait à l’identité de votre entreprise doit faire l’objet d’une annonce légale afin que les autres entités soient au courant de certaines modifications que vous allez entreprendre. Ces formalités d’entreprise qui nécessitent une annonce légale se rapportent :
– à la création et à la constitution de statut d’entreprise (SA, SAS, SARL, etc.)
– aux modifications au sein de l’entreprise : changement de gérant, transferts divers, dissolution, etc.
– à une cession de fonds de commerce, à une location-gérance, etc.

Déroulement et tarifs d’une publication légale

Une fois votre annonce rédigée et que toutes les informations essentielles y figurent, le journal vous remettra une attestation de parution ou encore une copie du journal. Elles font office de justificatifs, et cela, afin de vous permettre de poursuivre toutes les formalités auprès du Registre du commerce et des sociétés (RCS).
Concernant le tarif de publication dans un journal d’annonces légales (JAL), il est déterminé en fonction du nombre de lignes de votre annonce. Le tarif à la ligne reste inchangé pour tous les journaux d’annonces légales se trouvant dans un même département. Ce qui n’est pas le cas des frais d’envoi. Afin que votre annonce soit rédigée selon les normes et la réglementation en vigueur, il est recommandé de faire appel aux services d’un professionnel. De ce fait, vous devez aussi considérer le coût de sa prestation.

Publication d’annonce légale sur internet

La publication d’une annonce légale est facile sur internet. Certains professionnels du domaine possèdent des sites internet sur lesquels vous pouvez intégrer votre annonce légale. Vous avez généralement diverses fonctionnalités à votre disposition afin de publier votre annonce légale dans les meilleures conditions. En outre, la plupart de ces professionnels sur internet proposent des tarifs abordables.

En général, une publication d’annonces légales sur internet (sur la plupart des sites) s’effectue comme suit :
– Cliquer sur Publier et choisir son modèle.
– Rédaction de votre annonce légale
– Création ou connexion à votre compte client
– Visualisation de l’annonce
– Tarification de l’annonce
– Validation de l’annonce.

L’ouverture en un temps record

En création d’entreprise, les formalités administratives et juridiques prennent énormément du temps et peuvent être fastidieuses. Que ce soit une entreprise d’achat-vente, de restauration, de transport ou de santé, depuis votre PC, vous pouvez suivre les différentes procédures en vous inscrivant sur une plateforme dédiée à la création d’entreprise. Pour faire avancer les choses rapidement, vous devez fournir votre dossier avec un justificatif de siège, un formulaire MO, une demande d’ACCRE, une attestation de dépôt de capital…

Pour faire des économies substantielles

Ouvrir une entreprise en ligne est aussi pour une question d’économie. En faisant appel à un avocat ou à un expert-comptable, cela peut vous revenir très cher. En vous inscrivant sur une plateforme de création d’entreprise, vous pouvez suivre chaque étape de l’opération et recevoir une assistance personnalisée à moindre coût. Il est possible de demander conseil sur le choix de la forme juridique, sur le capital à investir ou encore sur le nombre de collaborateurs.

Pour gagner du temps

Entre la rédaction du plan d’affaires, les différents rendez-vous et l’étude de marché, la création d’une entreprise nécessite souvent beaucoup de temps. Les étapes sont de processus de longue haleine. Pour ce faire, vous pouvez solliciter le service d’une plateforme en ligne pour lancer votre projet. Leurs experts vous orientent et accompagnent de A à Z durant toutes les procédures.

Avoir des modèles gratuits de statut

En faisant appel à un service en ligne pour rédiger vos statuts, vous pouvez aussi faire de l’économie. Grâce à des modèles de statuts déjà prédéfinis, il est possible de choisir entre un statut d’une association loi 1901, une SARL, une SASU, une SNC, etc. Notez que vous pouvez toujours modifier les contenus en ligne. C’est également un excellent moyen d’accélérer le processus d’immatriculation de votre entreprise.

Éviter des erreurs préjudiciables

La tenue de la comptabilité n’est pas très difficile, surtout pour les PME, mais elle nécessite une certaine rigueur. Entre les nombreuses missions que les dirigeants ont à gérer pour faire fonctionner une entreprise, des manques de concentration peuvent se produire de temps à autre. Certaines écritures importantes ne sont donc pas toujours à l’abri des erreurs. Ces écritures sont pourtant la base des prises de décision, des déclarations auprès du fisc et de plein d’autres éléments essentiels de la vie financière de l’entreprise.

Rester dans la légalité la plus totale

D’année en année, la loi et la fiscalité changent et évoluent sans cesse. Une entreprise peut se perdre entre les réformes incessantes du marché et des législations, sauf si elle dispose d’une entité chargée de les surveiller de près. Personne n’est censée ignorer la loi. Une entreprise qui manque à ses obligations s’expose à des sanctions financières dommageables. L’expert-comptable est de ce fait là pour se tenir informé de toutes les nouvelles et ainsi, appuyer l’entreprise. Il est également tenu d’informer les décisionnaires en temps voulu sur tout changement juridique pouvant influer sur les activités de l’organisation.

Être avisé sur les risques

L’expert-comptable est chargé de fournir un accompagnement constant aux preneurs de décisions d’une entreprise. Aussi, ses conseils et ses avertissements sont-ils très utiles lorsque la société s’expose à des risques d’ordre financier ou économique. Les dirigeants affronteront ainsi les complications que leur entreprise peut faire face, sur la base d’une analyse financière approfondie et réfléchie. Cela permet une meilleure anticipation des menaces potentielles. En outre, un expert-comptable est à même de fournir des recommandations averties en cas de difficultés économiques et pendant les transactions financières importantes.